| | find me where the wild things are (nl) | |
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| Sujet: find me where the wild things are (nl) Mar 6 Déc - 20:16 | |
| - nicola dezba lyons -25 yo - ex jockey professionnel/à présent présentatrice radio d'une petite matinale - indian legend date, lieu de naissance: Elle a vu le jour un trois mars à Redcliff même et elle y a toujours vécu. nationalité, origines: Papa est américain tout comme ses trois enfants et maman est amérindienne. statut civil, orientation sexuelle: Mademoiselle est maman célibataire. Son petit Marcus a deux ans et est son rayon de soleil. Elle est hétérosexuelle (ou pas) et a toujours été attirée par des muscles saillants et des yeux rieurs masculins. Du moins, jusqu'à récemment, jusqu'à ce que cette fille fasse son entrée dans sa vie et bouleverse tout ce qu'elle croyait savoir sur elle. job, statut financier: D'abord jockey professionnelle, elle avait réalisé son rêve de gosse jusqu'à ce qu'une vilaine chute vienne lui couper l'herbe sous le pied. Depuis un mois, elle est présentatrice d'une petite émission radio matinale où elle parle météo, horoscope et peines de cœur et elle s'ennuie comme un rat mort. Niveau financier, elle se débrouille comme elle peut, avec l'argent de papa et maman qui l'aident beaucoup, celui qu'elle a amassé de son boulot de jockey et celui que son nouveau boulot lui permet de gagner, autant dire pas énormément. situation familiale: Elle est maman célibataire et a un frère jumeau et une grande soeur qu'elle adore. Pour elle, la famille, ça a toujours compté et ça a toujours été sacrée. Elle est plus que fière d'avoir pu grandir avec eux. Ses parents, quant à eux, ont toujours été aimants et ont donné le meilleur d'eux-mêmes à leurs enfants. traits de caractère: Passionnée, gourmande, naturelle, vraie, attachante, souriante, drôle, maternelle, (un peu trop) sérieuse (parfois), maniaque, amoureuse de la nature et plus spécialement des cheveux, végétarienne, jalouse, possessive, rancunière, mauvaise perdante. avatar, crédits: Queen Kane avec un gif de rosingtyler@tumblr. - it's these expressions you never give - O1. Une grande partie de son entourage la prend pour une folle pour avoir accepté de devenir mère porteuse pour son meilleur ami et son frère. Et oui, les deux étaient en couple il y a deux ans de cela et ils rêvaient d'un enfant pour compléter leur couple, requête à laquelle Nicola n'a pas été insensible. Elle s'est donc laissée prendre au jeu et ce malgré les avertissements de ses proches. Elle se ferait du mal avec toute cette histoire pas saine. Et sans crier gare, le couple Joe/Kaï est mort un peu avant la naissance de Marcus. Nico l'a bien sûr gardé et à présent, elle partage la garde alternée de son fils avec son meilleur ami Joe puisqu'il en est le géniteur. L'éducation du petit reste encore à voir, disons qu'ils se débrouillent comme ils peuvent et que pour l'instant, leur petit Marcus se porte comme un charme. O2. Nicola, c'est l'amour du conventionnel. L'amour du prévu, de rien qui ne s'éloigne de ses sentiers battus. Elle n'apprécie que relativement la surprise, l'inattendu et a toujours essayé sa vie entière de rester maître de celle-ci. Elle a toujours tenté de prendre des décisions et de s'y tenir du moins jusqu'à ce que cette tornade du nom de Noa. Une bouffée d'air frais qui vous laissait sans dessus dessous. Un ouragan, un tsunami d'émotions qui l'avait submergée comme jamais. Pourtant elle n'a rien de conventionnel cette fille, rien qui pourrait laisser croire qu'un feu d'artifice comme elle aurait pu rallumer le feu d'une pauvre allumette éteinte comme Nicola. Elle s'est insinuée dans sa vie sur la pointe des pieds à la manière du chute, lentement d'abord, comme suspendue dans l'air, puis rapidement, violemment, passionnément. Nico n'ose pas se l'avouer, elle se dit uniquement que la belle est une bonne copine, une bonne âme qui a accepté de la sauver quand elle ne croyait plus en rien. Il n'est pas encore question pour elle de parler d'attirance réelle ou même d'amour. Tout simplement parce qu'au prochain chapitre de sa vie, amour et Noa n'avaient jamais été censés rimer. O3. La nature et les chevaux, ça a toujours été sa passion. Elevée dans la croyance pure et dure que la nature était notre futur, elle développé une relation avec celle-ci relevant presque de l'ordre religieux. Il lui arrive souvent, le weekend lorsqu'elle retourne au ranch familial, de se perdre au milieu des arbres et de s'allonger dans l'herbe pour les écouter parler entre eux. A ses yeux, le vent n'est que le langage de ces êtres d'écorces et elle prend aussi le temps de méditer. De repenser à sa vie, à tout ce qui va mais surtout à ce qui ne va pas afin d'y trouver une solution. Cet amour de le nature, elle le doit à sa mère navajos. Celle-ci lui a tout appris sur ce qu'elle doit connaître du monde, lui expliquant qu'on venait et repartait sans cesse au même endroit. La vie n'est qu'un cercle vicieux pour elle, on naît de la poussière et on redeviendra poussière. Cette éducation, très traditionnelle aussi bien que le plan amérindien que sur le plan américain a imprégné en elle une forte valeur pour la famille. Mais aussi pour l'amour de son pays et du plein air. O4. Nicola est croyante mais peu pratiquante. Plus petite, avec son jumeau et son aînée, toute la petite famille avait l'habitude de se rendre à l'office mais une fois sortie de ce cocon familial, la brune n'a plus suivi le même schéma. Elle a toujours été la plus sceptique de sa famille au même titre que sa mère sur le fait de vénérer une personne ou une entité. Nico préfère écouter son coeur et croire sans avoir besoin de démontrer quoi que ce soit. La religion au même titre que la croyance n'engage que soi. No need to brag about it. O5. Son nouveau job l'ennuie au plus haut point. A tel point qu'il la fait même rire. Elle, donner des conseils en amour alors qu'elle est au plus bas dans sa propre vie ? On aura tout vu. Mais que voulez-vous, de nos jours, on ne cherchait plus la vérité mais ce qui faisait vendre. Complètement dépitée de devoir arrêter l'équitation à cause d'une blessure au genou, la brunette est tombée sur une petite annonce pour devenir présentatrice d'une émission de radio matinale locale, l'ancienne présentatrice étant en congé maternité. Depuis, Nico a la charge de donner la météo du coin, les horoscopes du jour et elle passe une bonne heure trente à écouter les complaintes sentimentales d'inconnus à l'antenne. Tout en leur donnant des conseils également, pour pousser le ridicule au maximum. Elle tient le coup en pensant que viendra vite le jour où son corps sera de nouveau en accord avec l'essence même de son âme qui lui crie du fin fond d'elle-même que sa place se trouve loin d'ici. A chevaucher la plaine sur le dos de Thunder son cheval fétiche. Loin de ces murs de béton et de ces désespérés qui imaginent réellement qu'une pure inconnue handicapée sentimentale pourrait venir à bout de leurs fantômes amoureux. O6. Nicola, plus jeune, c'était le genre de fille qui avait du mal à l'école. Toutes ces contraintes pour apprendre des choses jugées arbitrairement essentielles à la construction d'un être humain, très peu pour elle. Son esprit vagabondait toujours auprès des chevaux qu'elle pouvait apercevoir depuis la fenêtre du salon où elle a étudié pendant quelques années des suites d'une nom adaptation au système scolaire. Phobie scolaire. Elle ne supportait pas cette institution et sa mère s'est chargée de son éducation pendant quelques années, entre ses six et neuf ans. Homeschooled girl, there you are. O7. Sa famille a souvent été la cible de moqueries, on les comparait aux nouveaux Ingalls de la ville. On les trouvait bien trop fleur bleue, bien trop la main sur le coeur et dans leurs délires de deux bons siècles de retard. Le papa, propriétaire de son ranch, la maman sage-femme, assez simples et pourtant ne manquant pas d'argent pour subvenir aux besoins de leur famille. Ils étaient toujours prêts à recueillir le petit stray dogs du coin, lui offrant le gîte et le couvert les yeux fermés donnant leur prise de risque au Plus Haut, espérant qu'il la rajouterait à la longue liste de toutes leurs préparations pour l'après. Catho, conservative avec sa propre dose d'ouverture d'esprit, leur dernière éduquée à la maison, de quoi alimenter les conversations les plus houleuses de la ville. O8. Nicola ne le crie pas sur tous les toits mais elle adore chanter. A ses heures perdues, pour faire passer le temps, pour panser ses blessures. Parce que pour elle le poids des mots est bien plus que celui de n'importe quel autre remède, elle écrit. Elle tient des journaux intimes, elle compose des chansons personnelles qu'elle amène à la vie à l'aide de sa gratte, elle garde ses paupières closes, seul mince voile de chair entre son monde intérieur et la triste réalité. Quand elle chante, elle a l'impression que les notes de sa voix et celle de son instrument s'envolent si haut qu'elles finissent par s'accrocher aux nuages et sont emportés aux quatre vents pour aller apporter du réconfort à d'autres. Pour faire écho à l'histoire d'autres. Et leur dire qu'ils ne sont pas les seuls à passer par ces épreuves. O9. Végétarienne depuis ses quinze ans, elle ne supporte plus la vue de la viande dans son assiette. Après avoir grandi dans un ranch entourée d'animaux, elle a appris qu'il y avait plus en eux que leur simple statut de bétail. Impossible pour elle de même considérer l'idée de tuer pour se nourrir. Elle se contente donc de fruits, légumes, féculents et poisson. 1O. Son fils, Marcus, est toute sa vie. Il n'est certes pas arrivé dans les bonnes conditions ou du moins dans un contexte familial typique, mais elle ne verrait pas sa vie sans lui à présent. Leur vie n'a rien de conventionnel puisqu'en effet, elle vit la semaine chez son meilleur ami gay et géniteur de son enfant dans leur loft et le weekend ou à chaque fois qu'elle le peut, elle s'enfuit au ranch familial en périphérie de la ville avec son fils et se ressource. Elle passe faire un petit coucou à Thunder, à son père, sa mère et ses siblings quand ils sont là en même temps qu'elle. En bref, elle retourne à ses racines et elle adore ça. Elle ne se verrait pas retourner en ville définitivement et y rester à vie. Ce serait comme tuer une partie d'elle, la plus importante partie d'elle. pseudo, prénom: spf. âge, pays: vingt-et-un ans, gmt+4. personnage: inventé. dédicace: à vous tous mes amours pour m'avoir donné le meilleur accueil de tous les temps.
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| Sujet: Re: find me where the wild things are (nl) Mar 6 Déc - 20:17 | |
| - keep me searching for a heart of gold - Elle rit. Elle ne sait pas pourquoi mais elle rit. Verre de vin à la main, postérieur fermement posé sur le grand tapis au coût plus élevé que le rythme de vie du foyer, elle rit. Comme cela ne lui était plus arrivé depuis de longs mois. Voire années. Elle laisse tomber les murs de la forteresse sentimentale qu'elle s'était construite au fil des chutes qu'elle avait faites. Comme ça. Sans prévenir. Dans un murmure. Le doux murmure d'une voix qu'elle vient d'apprendre à (re)connaître par coeur. Elle lui était tombée dessus en un éclair et avait fait écho à des parties d'elle qu'elle avait pensé éteintes. Il faut dire que c'est pas facile de se laisser emporter par les flots de la vie quand on passé une bonne partie de celle-ci en apnée. Cette fois-ci, on dirait que, pour la première fois, elle a la tête hors de l'eau. Et elle n'a pas peur de retourner au fond, d'en toucher les pierres aiguisées qui lui avaient tant de fois blessées la paume des pieds. Elle a l'impression d'entrer en communion avec elle-même, là, près de ce feu de cheminée qui crépite tout autant que son intérieur. Tout autant que son organe vital, qui pour lui montrer qu'il existe et vibre encore, lui envoie un flux sanguin bien plus important que d'ordinaire. Elle le sent se mouvoir, se lancer dans une frénésie que ses yeux lui envient. Ceux-ci ont entamé dans une danse langoureuse avec les yeux de la personne ne face d'elle. Une autre belle créature, un autre mystère de la nature. Une autre belle énigme de l'existence qu'elle commence à peine à déchiffrer. Un autre bouleversement climatique, un cataclysme qui emporte tout sur son passage, même ses plus fortes convictions. Ça n'avait été dans ses habitudes, ça n'avait jamais ce qu'on aurait pu attendre d'elle. Se transformer en son ancien moi, bien plus juvénile, à replacer nerveusement une mèche de cheveux noire derrière son oreille. A rire bien plus fort que nécessaire et sourire bien plus fort, à s'en faire mal à tous les muscles de son visage. De quoi parlaient-elles en cette soirée hivernale ? De tout et de rien. De leurs passions communes, de la façon dont leurs expériences passées et leurs convictions s'imbriquaient, comme si elles s'étaient toujours attendues. Toujours cherchées. Son interlocutrice lui raconte comment elle a encore réussi à se battre pour défendre une cause qui lui est chère et elle l'écoute, en silence, buvant ses paroles et s'imprégnant de sa pugnacité. De sa rage de vivre et de son amour pour le changement. Elle essaie de reconstruire le puzzle de ses pensées, de sa réflexion afin de tenter de la comprendre. Mais jamais trop. Jamais entièrement. Elle aime cette part de mystère, d'ombre, d'inconnu en elle. Elle lui a appris qu'on était capable de tout si on s'en donnait les moyens. Qu'on n'était pas né dans un box et voués à suivre un seul couloir, comme ces précieux chevaux dont elle était folle. Elle lui apprenait qu'il y avait tout un autre monde à sa portée et qu'il lui suffisait de serrer les poings, de tendre les bras pour le saisir. Et elle, pendant ce temps, elle riait. Laissant même sa main venir frôler la sienne et dessiner les contours d'une bague sur son annulaire gauche. Froid. Glacial. La poussant à rompre ce contact, brutalement. Dur rappel qu'elle lui appartenait pas et qu'elle ne lui appartiendrait peut-être même jamais. Qu'elle était une rose faisant déjà partie d'un jardin sentimental dont elle n'était pas le jardinier. Pourtant elle pourrait parier qu'elle voyait la même lueur dans ses yeux, la même que celle qui la consumait depuis un mois et la laissait à terre avec ses convictions. Elle sent aussi cette envie en elle, chaque fois que leurs peaux se touchent, que sa main caresse ses cheveux de façon anodine. Mais elle reste hors d'atteinte, aussi bien physique que sentimentale. Et ça, ça la tue. Pourquoi a-t-il fallu qu'elle puisse se sentir entière auprès d'une personne qui ne pouvait pour l'instant que lui offrir des bouts d'elle ? Mais le temps passe, le temps file et son meilleur ami n'allait pas tarder à revenir avec leur fils, chair de leur chair, sang de leur sang. Ils n'allaient pas tarder à passer cette porte et briser l'alcôve dans laquelle les deux femmes s'étaient réfugiées. Et elle s'en irait. Une fois de plus. Faisant la bise au meilleur ami et au petit. Faisant la paix avec le cyclone qui rageait en elle lorsque ses lèvres touchaient le coin de celles de son amie. De celle qu'elle sauvait petit à petit de sa solitude. Celle qui, appuyée contre l'encadrement de la porte, la regardait descendre ces escaliers volubilement, ses longs cheveux bruns virevoltant dans l'air glacé de l'extérieur, sa main bougeant pour lui faire signe qu'elle s'en allait. Mais pas pour toujours. Pour lui laisser dire qu'elle reviendrait. Une fois de plus. La sauver.
Dernière édition par Nicola Lyons le Mer 7 Déc - 16:31, édité 6 fois |
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| Sujet: Re: find me where the wild things are (nl) Mar 6 Déc - 20:18 | |
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| Sujet: Re: find me where the wild things are (nl) Mar 6 Déc - 20:21 | |
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| | | Iggy Austen – we make the perfect storm.
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| Sujet: Re: find me where the wild things are (nl) Mar 6 Déc - 20:22 | |
| La belle Ade. Elle t'es réservée. Bienvenue parmi nous. |
| | | Toby Blackheart the diem ain't gonna carpe itself.
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| Sujet: Re: find me where the wild things are (nl) Mar 6 Déc - 20:26 | |
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| Sujet: Re: find me where the wild things are (nl) Mar 6 Déc - 20:28 | |
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| Sujet: Re: find me where the wild things are (nl) Mar 6 Déc - 20:46 | |
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| | | Jayne Ryswell
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| Sujet: Re: find me where the wild things are (nl) Mar 6 Déc - 20:48 | |
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| Sujet: Re: find me where the wild things are (nl) Mar 6 Déc - 21:01 | |
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| Sujet: Re: find me where the wild things are (nl) Mar 6 Déc - 23:45 | |
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| | | Lowen Ryswell
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| Sujet: Re: find me where the wild things are (nl) Mer 7 Déc - 7:46 | |
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| | | Iggy Austen – we make the perfect storm.
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| Sujet: Re: find me where the wild things are (nl) Mer 7 Déc - 16:22 | |
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