(1/1) ghost from the past.

rylan vient d'une famille très modeste. né d'une mère célibataire (son père les ayant abandonné alors qu'il n'avait que trois ans, peut après la naissance de ses cadets), cette dernière à trimé toute sa vie pour subvenir aux besoins de ses trois enfants. d'ailleurs, depuis ses 15 ans, il essaie de l'aider financièrement, à jongler entre petits jobs et études. rylan est un natif de redcliff, il y a passé toute sa vie. sauf que lui, il rêve de quelque chose de plus grand. à 21 ans, avec toutes ses économies, il a finalement décidé de partir pour new york et réaliser son rêve (à vous de trouver lequel). et il a trimé à son tour, pour essayer de vivre dans la grosse pomme. mais il y a trois mois, il claque tout pour revenir à redcliff. sa pauvre mère avait été diagnostiquée d'un cancer. en phase terminale. sa mère, la seule femme de sa vie. il ne pouvait pas l'abandonner comme ça. alors, le voilà de retour, reprenant un de ses anciens jobs, celui de barman au gilded mountain, en attendant de trouver mieux
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il n'a suffi que d'un regard. c'était lui. ça ne pouvait être que lui. mathieu. ce garçon que tu avais aimé profondément. cette histoire de deux ans. une histoire d'adolescent disaient les autres. mais cette histoire avait marqué ta peau, ton coeur. mais mathieu, il n'était plus de ce monde. plus depuis 5 ans. tu le savais pourtant. mais ces yeux. ce sourire. ce visage. même la voix semblait être la même. quand il te demanda ce que tu voulais boire. tu étais restée figée. il t'avais regardé bizarrement. réétirant sa question. mais rien ne sortait de ta bouche. tu n'y arrivais pas. et les larmes se sont mises à couler le long de tes joues. un dernier regard de sa part, et il s'en alla.
lui, perturbé par ce qu'il venait de voir. elle, qui était entrée avec ses amies, rigolant à gorge déployée. elle, qui avait tout de suite attiré ton regard. avec ses grands gestes. son rire. et ce doux visage. tu avais été l'accoster avant ton collègue, espérant entendre le son mélodieux de sa voix. sauf qu'il n'en était rien. elle s'était figée en te voyant. elle s'était même mise à pleurer. elle, qui t'avait semblé si joyeuse, étais soudainement devenu fragile. trop fragile. et tu n'avais su comment réagir. alors, comme un imbécile, tu étais parti, laissant place à un autre barman pour les servir. quelques minutes plus tard, un regard à travers toute la salle. elle était partie.